Refine my results

Document type

Institution

Specific Collection

Language

Author

Keyword

Université de Fribourg

Les parentés entre cités chez Polybe, Strabon, Plutarque et Pausanias

Curty, Olivier

In: Origines gentium, 2001, p. 49-56

Le vocabulaire de la parenté personnelle sert également à caractériser les rapports entre États. Deux termes sont principalement utilisés : συγγένεια, qui définit la parenté de sang, et οἰκειότης, qui marque l'intimité des relations. L'enquête conduite chez les quatre auteurs confirme les conclusions de l'épigraphie

Université de Fribourg

La parenté légendaire à l'époque hellénistique : Précisions méthodologiques

Curty, Olivier

In: Kernos : revue internationale et pluridisciplinaire de religion grecque antique, 1999, vol. 12, p. 167-194

En réponse aux critiques suscitées par l'ouvrage de l'auteur noté 66- 08146, nouvel examen des termes συγγένεια (ou συγγενής) et οἰκειότης (ou οἰκεῖος) quand ils sont employés, notamment dans les inscriptions officielles (décrets, traités, etc.), pour désigner les relations de parenté (réelles ou prétendues) entre cités grecques.

Université de Fribourg

La notion de parenté entre les cités chez Thucydide

Curty, Olivier

In: Museum Helveticum, 1994, no. 51, p. 193-197

Deux cités se disent parentes lorsqu'elles passent pour avoir été fondées par le même dieu ou héros. Cette parenté permet de s'attacher une cité et de lui demander de l'aide en cas de besoin. À cet égard, Thucydide emploie deux termes différents :suggeneia et ses dérivés, qui désignent la parenté réelle, etoikeiotes, la parenté prétexte, factice, de circonstance. Ces...

Université de Fribourg

Un usage fort controversé : La parenté dans le langage diplomatique de l'époque hellénistique

Curty, Olivier

In: Ancient Society, 2005, vol. 35, p. 101-117

Combat la thèse de S. Lücke (=> 71-10779), qui soutient que le mot συγγένεια, qui désigne la parenté par le sang dans les relations individuelles, perd ce sens fort dans les relations entre États et doit être pris au sens figuré de « ressemblance ». L'examen des emplois de ce terme montre que, dans la plupart des cas, sa valeur ne peut être considérée comme différente...