Actuellement, la question des situations de fin de vie se pose en problème social. La dénonciation du tabou de la mort et de l’acharnement thérapeutique suscite des interrogations éthiques relatives à la souffrance des malades. Dès lors, le bien mourir devient une préoccupation qui touche chacun d’entre-nous. En Suisse, l’aspiration à une mort pacifiée se meut en deux modèles...